L’initiative d’applaudir aux fenêtres pour remercier et encourager les personnels des hôpitaux et leurs membres extérieurs pour leur courage et dévouement, est plus qu’honorable, car ceux ci restent potentiellement en contact avec le virus et multiplient donc leurs propres risques de contaminations.
Mais n’oublions pas les membres de notre industrie qui se décarcassent chaque jour pour solutionner soit les rapatriements, soit les annulations, soit les changements de plans et j’en passe.
Et l’on appelle cela du « service après ventes »
Considéré comme une normalité, ce type de travail n’apporte pas de rémunérations supplémentaires, mais en général le personnel doit subir vexations, énervements si pas insultes.
En plus, ils devront gérer l’après crise qui consistera à persuader le voyageur potentiel à reprendre confiance, et à retrouver ses réflexes et besoin de vacances. Tout un programme.
Rien que pour eux, j’ai sélectionné une photo qui m’est parvenue de la péninsule du Cap, où les singes locaux ont vite compris la valeur intrinsèque… du papier de toilette.
Merci à vous, pour votre professionnalisme.
Et enfin, une pensée particulière pour les créneaux satellites de notre industrie:l’Horeca, qui ne peuvent que subir la loi et les effets destructeurs du confinement.
En image, une rareté, la Mecque de la moule à Bruxelles totalement déserté.
Courage et belgitude, et surtout sauvegardons notre humour… en visionnant la présente vidéo.