Un débat conflictuel éternel, car ces types de restrictions auraient des impacts économiques négatifs sur bon nombre de segments professionnels de notre industrie touristique.
Ceci dit, l’envahissement de touristes d’un jour ou de plusieurs jours sur de nombreux sites mondiaux devient et deviendra de plus en plus insupportable. Certaines grandes capitales prennent conscience du problème, mais hésitent encore à imposer des mesures limitatives. Le consommateur touriste lui, est une victime consentante ou non dès son arrivée sur place.
La saisonnalité est évidement un facteur incontournable. Deux exemples de masse au hasard. Venise et Santorin, qui laissent souvent aux visiteurs de pleine de saison, un goût amer de files d’attentes ou de mauvaises petites expériences… sans entrer dans les détails.
Mais c’est surtout le dernier exemple de tourisme de masse, qui m’a poussé à rédiger la présente chronique et à répéter l’alarme : l’Himalaya et la conquête de l’Everest. En cette période de beau temps, 200 alpinistes s ‘élancent à la conquête de la montagne… chaque jour !!!
Je comprends les rêves, les désirs d’aller au-delà de ses propres limites, mais de là à risquer sa vie et celles des autres parfois, il faut penser alors à fixer un calendrier de restrictions.
