Pendant trois jours d’affilée, fin mai aux Ateliers des Tanneurs, à Bruxelles, le croisiériste Ponant est venu à la rencontre de ses clients, agents de voyages et passionnés de croisières, afin de mieux faire connaître, si besoin en était, la compagnie et ses fleurons. Compte rendu en texte, photos et vidéo.
«Pour la quatrième année déjà, ces soirées ont pour but d’accueillir la plupart de nos clients et de nos prospects pour les immerger dans les différents mondes Ponant, qu’il s’agisse de celui des glaces mais également des mondes tropicaux », a d’abord rappelé Patrice Janssens, ambassadeur Ponant à Bruxelles, lors de la première soirée (« l’appel du large ») : « Ponant a beaucoup évolué, surtout ces dernières années et après la période difficile que l’on a connue, la compagnie s’est renouvelée en permanence en termes de destinations mais également au niveau de l’offre et des bateaux”.
“C’est ce que nous voulons montrer à nos clients qui viennent à l’une de ces soirées (ndlr : lesquelles se déroulent également dans quelques villes de France et en Suisse). Au total, nous attendons plus de 500 personnes à Bruxelles, ce qui est excellent. C’est une bonne occasion pour nous rencontrer et qui sait, réserver et concrétiser une croisière de rêve avec nos conditions favorables et ce, toujours l’aide et les explications de nos professionnels. »
Visites virtuelles
Une présentation et des mini-conférences ainsi que des visites virtuelles des navires permettaient en effet de s’immerger davantage dans l’ambiance, un verre de champagne à la main. Laurent van Lierde (voyages van Lierde, Bruxelles) en a profité pour parcourir le Champlain de cette manière… «Cela donne un très beau rendu de l’ambiance, des piscines, de la passerelle, du pont d’observation… Là, je traverse le restaurant, les salons, le sauna, la salle de fitness… Un très beau rendu de voir les espaces et l’ambiance sur place ! Je vends de plus en plus Ponant et notamment en Méditerranée, il y a moyen d’avoir encore des croisières à des prix abordables tout en sachant que nous sommes bien entendu dans le top du luxe qui n’a rien à voir avec une croisière classique… ».
« Je suis Belge et je vis dans le sud de l’Espagne. Je représente la compagnie dans le monde entier et ce road show que nous organisons ici permet de rencontrer les agents de voyages en b2b mais également en b2b2c”, a pour sa part noté Frédéric Jansen, global brand ambassadeur Ponant. Comme on ne peut pas emmener un de nos 13 navires à Bruxelles, c’est nous qui allons à la rencontre du public qui peut nous rencontrer, faire un parcours immersif, vivre les présentations comme à bord avec la présence de naturalistes, de commandants et bien entendu du personnel qui travaille au bureau ici à Bruxelles…».
Un parcours sans faille qui fait rêver…
Etienne Garcia, capitaine du Commandant Charcot nous a un peu fait rêver : « J’ai débuté chez Ponant en 2005. D’emblée, ce qui m’a passionné c’est quand j’ai feuilleté les brochures ! Car oui, j’ai fait comme nos passagers : j’ai rêvé et j’ai décidé de me former notamment dans les mondes polaires avec un mentor allemand qui était un des précurseurs dans les croisières expéditions. Dès lors, j’ai commandé le Diamant durant 5 ans (ndlr : qui n’est plus chez Ponant) en Antarctique et en Arctique mais également au Groenland, au Spitzberg…
Ensuite, j’ai rejoint la flotte des LBS avec le Boréal que j’ai commandé quasi à sa sortie, avec ensuite l’Austral, le Soléal et ainsi de suite… J’étais d’ailleurs un des premiers à emprunter le passage du nord-ouest sous pavillon français. Et puis voilà, avec cette passion des glaces et de l’expérience acquise, j’ai participé aux premières réunions du projet du Commandant Charcot (brise-glace d’expédition) il y a six ou sept ans… et depuis, c’est un peu mon bébé ! J’ai eu la chance de commander ce premier bateau de passagers au pôle nord géographique.
Depuis lors, on va vraiment là où les autres ne vont pas, grâce notamment à notre capacité à briser la glace. Ceci dit, nous ne la cassons pas pour le plaisir et profitons toujours de l’ouverture possible d’un chenal car je pense que nous avons trouvé nos limites en accord avec notre environnement : à savoir explorer, mais en accord avec la nature. Cette nature si belle et cet environnement que nous avons envie de partager avec nos passagers…. ».