Beaucoup de gens l’oublient ou tout simplement l’ignorent. Pour les étudiants en fin de cursus, un mémoire de fin d’études doit être déposé dans les délais prescrits et dans la forme demandée, avec un nombre minimal de pages obligatoire.
Ce document écrit, rédigé par l’étudiant sur base du thème choisi, est une épreuve redoutable qui nécessite de sa part des recherches approfondies, des interviews appropriées, des valorisations budgétaires si nécessaires, bref un condensé général de ce qu’il a emmagasiné comme connaissances durant ses années d’études.
Une fois son mémoire déposé, son stress est loin d’être terminé. Il devra défendre son travail oralement devant un jury compétent. Cette dernière épreuve est pour l’étudiant l’acte final durant lequel il devra convaincre le jury que son thème choisi est non seulement réaliste économiquement, sociologiquement, écologiquement parfois, mais aussi nécessaire pour l’industrie dans laquelle il veut s’investir professionnellement.
Plusieurs étudiants sont déjà certains de la voie à prendre, d’autres restent encore hésitants devant la rapide évolution de notre société. Pour ma part, en tant que lecteur et promoteur de mémoires depuis de nombreuses années à l’Institut Charles Péguy à Louvain La Neuve, je ne puis qu’exprimer mon admiration pour la majorité de ces jeunes qui ont fait l’effort de la différence, sans jamais baisser les bras.
Incertains au début de leur cursus, beaucoup ont évolué positivement et ont trouvé l’objectif, le but à suivre. Une copie de chaque mémoire est conservée dans la bibliothèque de l’Institut Péguy, qui est et reste une source méconnue d’informations pour les industries hôtelières, événementielles et /ou touristiques.
A nouveau durant cette session de septembre j’ai été bluffé par certains d’entre eux, mais aussi déçu par d’autres. Mais ainsi va la Vie. L’avenir sourit aux audacieux, mais surtout aux plus courageux et travailleurs.
« A nouveau durant cette session de septembre j’ai été bluffé par certains d’entre eux, mais aussi déçu par d’autres. Mais ainsi va la Vie. L’avenir sourit aux audacieux, mais surtout aux plus courageux et travailleurs. »
Le mémoire reste une épreuve redoutable et dépend fortement du jury, pour en avoir fait moi-même l’expérience (avec vous, Mr De Nil, qui était très concentré…sur votre gsm lors de ma défense).
Quoiqu’il en soit, le mémoire ne définit absolument pas l’avenir de l’élève… Bosseur ou moins bosseur, tant qu’on a la passion du métier, on trouvera toujours sa voie, il suffit de le vouloir. L’heure n’est plus aux plus studieux, mais aux plus passionnés et motivés.