L’UPAV, la VVR , l’ABTO, le BTO, la FBAA… J’accorde encore le bénéfice du doute pour l’association des autocaristes belges qui ont une spécificité particulière, mais pour les 4 premières l’on doit se poser encore et encore la question, qui restera toujours sans réponse.
Pour être crédible soyons unis
Hélas… Beaucoup de plans, de promesses, de comités de concertation, de réunions secrètes ou non, bref beaucoup de vent pour rien. Evidemment une grande part de responsabilité historique incombe à la politique linguistique du pays. Mais beaucoup d’egos également. 5 associations, 5 Présidents ou CEO, vice-présidents, secrétaires généraux, administrateurs …bénévoles ou non.
Des congrès différents, des objectifs ou communications différentes et parfois identiques et donc doublées ou triplées, des cotisations différentes et donc des administrations différentes, et donc des trésoreries différentes. Mais quels sont, in fine, les avantages des Membres? Surtout au moment où la licence d’AGV n’est plus obligatoire…
Un rapide condensé des associations sans préciser qui fait quoi
L’une veut promotionner la Formation au travers d’un outil à points et recruter des gentils Membres. L’autre veut révolutionner son rapport de statistiques pour être au plus près des tendances de ventes et du comportement des consommateurs.
Une autre encore veut défendre souvent l’indéfendable (la DCC par ex) mais a besoin de son organe de tutelle européen, sans succès pour l’instant. Et enfin , nos amis du nord, qui protègent leur indépendance d’action.
Je sais, ce sont des raccourcis, des résumés, des clichés et tout ce que vous voulez, mais une chose est certaine, d’autres pays ont unis leurs associations depuis bien longtemps, et lorsque leur organe unique s’exprime, il est écouté et respecté..
Ne nous voilons pas la face, chacun sait que les centres de décisions ne sont plus à Bruxelles, ni en Belgique, mais à Londres, à New York, à Paris, à Genève, à Frankfort ou à Amsterdam.
Vos Membres doivent faire face à la réglementation européenne et l’appliquer, ils doivent faire face à l’évolution d’une technologie galopante, et surtout faire face à un comportement du consommateur versatile qui a oublié depuis longtemps la signification du mot loyauté.
Alors que faire?
Petit pays, petit esprit, dit on! Prouvez au moins que ce dicton est faux, et dans l’intérêt de vos Membres, unissez vos forces pour défendre votre industrie.
Tribune libre de TABOU
Intérêtsdifférents, assoiations différentes CQFD
Tout à fait d’accord avec cet article. En tant qu’ancien membre du board de la BTO, nous avons travaillé activement au rapprochement avec les autres associations en Belgique, dans le but de dupliquer le modèle Néerlandais. Malheureusement, nous avons été confronté à de nombreux egos très forts, ou chacun préfère être le n°1 dans son village plutôt que n°2 dans son pays. Pauvre mentalité ou l’union ne fait malheureusement pas la force.
Robert Verstringhe
à l’aimable att de Hedy
je ne sais plus lire la suite de votre réponse à l’inconnu(e)
la dernière phrase ……ils sont malheureuse……… ???
c’est souvent ainsi: celui qui ne participe pas aux activités de son union professionnelle a la critique très facile!
j’ai eu la chance de « travailler » un peu au sein de l’upav pour la défense des professionnels et éloigner les amateurs ou essayer de les obliger à se mettre en ordre. Bonne continuation !