Les règles ont été établies et implémentées, et gare à ceux qui ne les ont pas respectées. Encore des zones d’ombres, mais les autorités compétentes s’en occupent, enfin on l’espère. Mais pour le consommateur lambda quelles sont les différences ?
Avant, nous étions inondés de mails indésirables. Nos adresses étaient vendues très chères « sélectivement » sans le consentement du consommateur, mais il avait le droit de se désinscrire …heureusement.
Avons-nous moins de mails de toutes sortes dans nos boites depuis l’introduction du RGPD ? A première vue non ! L’inondation se poursuit impunément. Mais nous devons maintenant accepter les cookies ou les entrées vers les sites que nous voulons vraiment visiter, sans jamais ou presque en lire les conditions générales.
Le législateur RGPD a-t-il intégré dans ses directives la téléphonie ?
Erreur probablement, car les petites littératures cachées doivent certainement contenir des accords indirects autorisant les sociétés à poursuivre et partager leurs stratégies d’approches ou de ventes. Bref pour le consommateur rien ou presque n’a changé.
Pire, il existe maintenant une recrudescence d’appels téléphoniques indésirables vantant ou promotionnant les mérites de tel ou tel fournisseur d’énergies, ou de télécommunications ou autres produits. Ma question: où ce sont-ils procurés les numéros d’appels fixes ou portables?
Le législateur RGPD a-t-il intégré dans ses directives la téléphonie ? Je l’ignore, mais les abus se poursuivent impunément et restent répétitifs. De bonne source beaucoup de consommateurs s’en plaignent amèrement.