Le Skål se penche sur la «tourismophobie»

La « tourismophobie » n’est pas une nouvelle maladie ou une infection quelconque mais un phénomène qui touche de plus en plus  les vacanciers, de plus en plus souvent confrontés à des remarques désobligeantes de la part des locaux lors de leur séjour.

Le marché des vols « low cost » a ouvert la voie à un nombre grandissant de touristes en leur offrant la possibilité de voyager vers de plus en plus de destinations. Parallèlement, l’explosion de l’offre d’appartements sur des sites prétendument collaboratifs, tels qu’Airbnb, raréfie et renchérit les possibilités pour les locaux de se loger à des prix raisonnables.

Si principalement des villes telles que Barcelone, Dubrovnik, Amsterdam, Venise et bien autres en bénéficient au niveau économique, la tendance des ctiytrips et autres courts séjours a débouché ici et là sur une surfréquentation.

Quand les touristes sont accueillis à l’aéroport pas des panneaux « refugees welcome — tourists go home » ou insultés voire agressés en terrasse ou que des autocars sont même attaqués, il faut se poser certaines questions.

Plusieurs villes réagissent et prennent des mesures. C’est le cas de la belle ville de Dubrovnik et le Skål Club de Bruxelles a invité pour en parler Ivica Srsen, ex responsable de l’Office de Tourisme de la Croatie pour le Benelux (et de l’OT Yougoslave auparavant) le mercredi 24 octobre. Résident lui-même à Dubrovnik, il est particulièrement bien informé des mesures qu’ont prises les autorités de la ville pour lutter contre ce tourisme de masse.

Plus d’infos et inscriptions à la conférence-débat qui aura lieu à l’hôtel Ramada Woluwe:  envoyez un mail à  [email protected]

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