C’est à l’unanimité que les sites de « Taputapuātea », sur l’île de Ra’iatea en Polynésie française, et de Strasbourg, Grande-Île et Neustadt, ont été inscrits au patrimoine mondial lors de la 41ème session de son comité, qui s’est tenue à Cracovie du 2 juillet au 12 juillet.
Taputapuātea illustre l’expansion des peuples polynésiens à travers l’océan Pacifique, leur organisation et leur relation spirituelle et cosmologique aux éléments naturels et à l’espace.
Extension d’un site inscrit en 1988, « Strasbourg, Grande-Île et Neustadt » constitue un ensemble urbain caractéristique de l’Europe rhénane, structuré autour de la cathédrale, dans une région symbole de la réconciliation franco-allemande.
Ces deux nouvelles inscriptions portent à quarante-trois le nombre de biens français inscrits au patrimoine mondial de l’UNESCO.