Lors de sa croisière inaugurale, le paquebot de la CFC a reçu à son bord une trentaine d’agents de voyages à le découvrir lors d’une visite.
Parti du Havre et avant son baptême officiel, le Renaissance de la compagnie CFC entamait (ndlr :enfin!) sa première mini-croisière et faisait escale à Zeebruges pour un jour et une nuit.
Cette escale a permis à une trentaine d’agents de voyages (du Nord de la France et de Belgique) de le visiter, de l’apprécier et d’en tester un peu la gastronomie. Certains étaient montés à bord au Havre pour encore mieux en apprécier les qualités en mer et avoir déjà leurs premières impressions…
Une présentation du croisiériste (au salon bar au 12 ème étage) permettait d’en savoir plus, notamment sur les 5 piliers de la Compagnie Française des Croisières, à savoir la taille du navire, le Service (à la française), la Gastronomie (premium) ; les Itinéraires de choix et diversifiés ; les croisières culturelles et animations ainsi que les tarifs et formules.
Maxime Bot-Kalaydjian, CFC : «Nous sommes sur un petit navire, à taille humaine avec 629 cabines et 1100 passagers. Nous avons comme autre point fort un haut service de qualité, sous pavillon français. Comme vous le constaterez, on y mange très bien car c’est une gastronomie premium qui est proposée ! Le navire se situe entre les paquebots du Mass Market et les bateaux d’expéditions de luxe. Nous proposons un large choix d’itinéraires qui partent du Havre, de Marseille et de Bordeaux.
Ce sont des croisières qui jouent plutôt la carte culturelle avec de l’animation et de belles destinations. Nous proposons plusieurs restaurants. Les principaux proposent des buffets à volonté sur les trois repas quotidiens, à savoir le petit déjeuner, le déjeuner et le dîner, sachant que celui-ci est proposé le soir en deux services, à 19 et 21 h, pour les spectacles (dont la salle peut accueillir jusqu’à 700 personnes). Il y a trois restaurants en dehors de la formule Pension complète. Le Saigon qui propose de la cuisine asiatique (20 euros/pers) ; le Louchébème (viandes et grillades) à 30 euros et la Table du Chef (prix variable et sur demande) qui est un restaurant gastronomique (12 personnes maximum) qui propose tous les savoir-faire culinaires (en 7 services) proposés par les anciennes compagnies françaises dont on a les menus de l’époque (Le France, le Normandie, le Mermoz…) et qui seront servis à bord de ce restaurant. »
Le Renaissance abrite aussi 10 bars et salons, comme le Fou Chantant (un piano-bar), Le Décanteur (un bar à vins !) ainsi que quelques superbes salons comme celui des ‘Explorateurs’ avec une magnifique bibliothèque ou le Bar océan…
Maxime : « Les spectacles se font en Français. Pour les excursions, également toujours en français, il est souhaité de les acheter à l’avance en cliquant sur le site «Gérer ma croisière » même s’il est possible de les acheter à bord (plus cher) avec le risque de ne plus avoir de place car elles sont limitées à des petits groupes. »
En ce qui concerne les cabines, il y a celle avec terrasse promenade de 17 m² avec accès direct au pont promenade où les passagers circulent mais du fait que la cabine est munie de filtre-miroir, l’intérieur est invisible (à partir du moment où la lumière n’est pas allumée) avec deux transats sur la terrasse… La cabine a une douche et une baignoire. Quant à la cabine balcon 20m² et 5m² de balcon, la suite Renaissance 36 m² et 18m² de balcon avec plein de petites attentions particulières… Nous terminons avec les cabines intérieures (17 m²) et qui peuvent accueillir jusqu’à 4 personnes…
Jean-Charles Franchomme (Kit Voyages Lille) : «C’est un bateau à taille humaine et 100% francophone, donc un grand ‘plus’ et dès lors, c’est une compagnie qu’on va soutenir au maximum ! CFC permet de découvrir à fond les destinations pour des croisières plutôt culturelles. Il y a également un très beau spa. On est sur de belles superficies pour les différents types de cabines, avec ou sans balcon, etc. Pour avoir interrogé quelques croisiéristes que j’ai rencontrés et qui n’aiment pas les géants des mers et préfèrent les petites structures, il y a toute une clientèle à conquérir et c’est une bonne alternative aux gros paquebots ! ».
Géraldine Verhelst (Folies Voyages, Mouscron) : « Une belle découverte pour une clientèle qui est à prendre, un créneau qu’il va falloir exploiter. Le côté francophone est un atout pour notre clientèle. Et je pense que ce bateau a de l’avenir, tout à fait! J’ai été séduite par la qualité et le repas que nous avons pris m’a convaincue du service et de la gastronomie. On espère beaucoup de ventes ! ».
Captain Paul Cruise (The Cruise Boutique) : « J’aime bien ce bateau (ndlr : un ancien d’Holland America Line) qui a une deuxième vie comme chez différents armateurs et j’aime l’idée de ce que CFC a créé ici. Il est parfaitement rénové et est encore un peu comme un « diamond in the rough », un diamant brut, et il va s’améliorer avec le temps, j’en suis certain. L’atmosphère est agréable et le servie parfait, les itinéraires sont très intéressants et le fait qu’il soit entièrement francophone est un atout qui peut plaire également à une clientèle néerlandophone…».
Maxime Bot-Kalaydjian, CFC : « C’était une très bonne journée avec un très beau soleil belge. On est très content d’avoir accueilli des agents de voyages de Belgique et du nord de la France pour enfin leur montrer notre bateau et CFC croisière lors de sa première escale et de sa première croisière… A vous de jouer maintenant !».