Le slogan de Celestyal Cruises est Sea more, « voyez-en plus ». Le jeu de mots est amusant, mais en réalité, « voyez le meilleur au bon moment » serait bien plus approprié.
Évidemment, une croisière de quatre jours comptant six escales ne peut offrir qu’un avant-goût des destinations à l’itinéraire. On ne peut alors qu’espérer que celui-ci soit à la hauteur des attentes!
Nous sommes donc arrivés à Santorin, la star des Cyclades, en fin d’après-midi. Après un tour de l’île et de sa plaine semée de vignes, nous nous sommes arrêtés à Oia, juste à temps pour un spectaculaire coucher de soleil.
À Mykonos aussi nous avons eu droit à une visite de fin d’après-midi alors que le soleil embrasait le village.
À Kuşadasi, en Turquie, nous avons visité Éphèse, qui était à son apogée la deuxième ville en importance de l’Empire romain. Nous l’avons fait le matin… avant qu’il ne fasse 800°C! Idem pour le palais de Cnossos, en Crète, et l’acropole de Lindos, à Rhodes. Quant à Patmos, nous sommes arrivés à l’ermitage de saint Jean en fin de journée alors que rouvraient les commerces et les cafés de Chora.
À Santorin, j’ai dit au revoir à deux couples de Montréal, clients de Transat, par ailleurs enchantés de leur expérience « célestyale ». Ils allaient passer quatre jours dans l’île avant de rentrer. Si je les aurais volontiers suivis, je demeure enchantée de ma visite éclair, car… tout indique que j’ai vu le meilleur !