La nouvelle CEO de Brussels Airlines, affirme que la compagnie belge, aujourd’hui intégrée dans Eurowings, n’est plus dans le rouge mais doit gagner en rentabilité. Le nom de la compagnie pourrait changer sur le réseau européen.
« La compagnie n’est plus en danger immédiat. Nous avons sorti la tête de l’eau, mais nous ne marchons pas encore sur la plage comme le font les autres compagnies du groupe, telles que Lufthansa et Swiss qui se portent nettement mieux que nous », a affirmé Christina Foerster dans un entretien avec La Libre Belgique mardi. Mais aucun chiffres n’a été communiqué..
« Nous avons transporté beaucoup plus de passagers qu’en 2017. Mais nous devons être beaucoup plus rentables et ainsi pouvoir bénéficier plus largement des investissements du groupe Lufthansa », indique-t-elle. Améliorer la rentabilité doit se faire sur les lignes qui existent, si bien qu’il n’y aura pas de lancement de nouvelles destinations long courrier cette année, indique la CEO.
La CEO a également annoncé que « sur le réseau européen, le nom de Brussels Airlines pourrait changer », et que la question est encore en discussion pour le long courrier. « Si nous voulons créer une plateforme européenne, nous ne pouvons pas garder toutes ces marques individuelles », justifie-t-elle.