Profitant de la présence de nombreux partenaires des territoires français d’Outre-Mer (*) à Paris, dans le cadre de l’IFTM-Top Resa, une rencontre professionnelle a été organisé jeudi dernier dans l’un des deux hôtels Mercure de la Porte de Versailles, proche du salon. Etaient invités des tour-opérateurs de plusieurs pays européens dont cinq voyagistes belges fruit d’un partenariat avec la SNCB. Une première, comme l’a rappelé Gisèle Jamin, Responsable Promotion BtoB Loisirs & MICE et Evénementiels d’Atout France à Bruxelles, qui a accompagné la délégation depuis la capitale belge. L’occasion de souligner le potentiel touristique des destinations présentes, lesquelles représentent à elles dix 97% de l’espace maritime français.
En introduction du workshop, Air France a vanté ses dessertes des territoires d’Outre-Mer au départ de Paris-Charles de Gaulle, aéroport plus facile d’accès que Paris-Orly pour les Belges, notamment avec le pré-postacheminement en train et la formule TGVAir en partenariat avec la SNCF.
La compagnie aérienne française, depuis l’aéroport du nord de Paris, opère en effet deux vols par jour sur la Martinique et la Guadeloupe, passera à deux vols quotidiens cet hiver sur Saint-Martin (KLM en assure six par semaine au départ d’Amsterdam), dessert chaque jour l’ile de la Réunion et la Guyane…
Air Austral vole aussi sur la Réunion au départ de CDG. En revanche, Corsair (Antilles, Réunion, Mayotte), French Bee (Antilles, Réunion, Polynésie française) et Air Caraibes (Antilles) opèrent depuis Orly. Air France, rappelons-le, va quitter l’aéroport du sud de Paris en 2026 au profit de sa filiale Transavia.
VDM
(*) Martinique, Guadeloupe, Saint-Barthélémy et Saint-Martin, La Réunion, la Guyane, Mayotte, la Polynésie française (Tahiti), la Nouvelle-Calédonie et Wallis-et-Futuna.