Depuis 2010, Flightright se bat pour que ses clients obtiennent des compensations suite aux retards ou annulations de leur vol. Voici les 3 plus incroyables plaintes recensées depuis la création de l’entreprise.
1. Le chien qui voulait faire valoir ses droits
Peu de passagers le savent, mais plus de 3 heures de retard sur un vol permettent de demander à la compagnie aérienne une compensation, qui peut aller jusqu’à 600 € par siège et par personne, enfant inclus. Mais un passager assez malin s’est dit que si tous les membres d’une famille pouvaient obtenir un remboursement, son animal préféré y avait aussi droit ! Ainsi, le courrier signé d’une empreinte de patte et du nom du toutou est devenu légendaire chez Flightright, même si le chien n’a pas obtenu de remboursement. Bien essayé Rex !
2. Le violoncelle qui se faisait passer pour un passager
Suite à un vol longuement retardé, un utilisateur de Flightright a fait une demande de compensation pour trois billets d’avions. Un remboursement pour Madame B., un remboursement pour Monsieur B. Jusque-là rien d’anormal ! Mais les collaborateurs de Flightright ont été plus perplexes face à la demande pour le troisième passager : Violoncelle B. Après quelques recherches, l’équipe de Flightright a en effet eu la confirmation que le troisième passager n’était autre que le violoncelle de Madame B, à qui le couple avait réservé un siège. Le violoncelle a lui aussi été retardé ! (En tant que passager, a-t-il été indemnisé ? -NDLR)
3. Deux avions qui se percutent sur le tarmac
Un pilote qui avait quelques grammes d’alcool dans le sang a percuté avec son avion l’aile d’un autre avion sur le tarmac, juste avant que ce dernier n’arrive à sa porte. Les avions percutés ont donc été cloués au sol quelques temps, tout comme le pilote fautif… le passager de l’un de ces avions s’est donc retourné vers Flightright dans l’espoir d’obtenir une compensation. Même si le dernier cas reste d’une rareté absolue, il n’est pas impossible d’obtenir un remboursement.
Les passagers doivent savoir que seuls les retards ou annulations causés par des événements imprévisibles, inévitables et externes à la compagnie (éruption de volcan, coup d’état, etc.) dédouanent les compagnies de toute compensation… Même quand le pilote est bourré… Hips! (NDLR)