La Nature réclame ses droits, mais hélas l’Homme frappe toujours

Nous prenons l’habitude de voir les renards roder autour de nos parcs et même la nuit en pleine ville. A la recherche de nourriture facile dans nos poubelles… Il ne faut surtout pas nourrir le goupil. A Wezembeek par exemple, la nuit qui précède le ramassage hebdomadaire des poubelles, au petit matin quelques sacs plastiques sont systématiquement éventrés.

Solution : déposer vos sacs plastiques « labellisés » sur votre poubelle noire en dur qui contient vos déchets verts. Dans nos Ardennes, et même plus près de Bruxelles, pas plus loin qu’Overijse, ce sont les sangliers qui font la loi, en saccageant les belles pelouses à l’anglaise. Cette présence plus grande de la Nature à nos portes peut paraître sympathique, mais pose la question du pourquoi.

Je ne suis point spécialiste en la matière, mais une chose est certaine, si l’Homme évolue, la Nature certainement aussi. Au Canada, à Ottawa, jeudi passé, en plein centre-ville à deux pas du Parlement Fédéral, un ours noir, sorti de sa forêt, a semé la panique. C’était la seconde fois en une semaine. Les gardes forestiers les ont chaque fois endormis et remis en liberté dans leur environnement naturel.

Ce comportement des ours n’est pas rare au Canada, et les exemples sont légion. Mais dans la capitale, en plein quartier touristique, c’est une première. Quelque part c’est un très bon argument touristique.

Et enfin, une information plus tragique celle-là rapportée par l’ONG Eléphants sans Frontières, au Botswana, une centaine d’éléphants ont été abattus par des braconniers sans scrupules, en une semaine. Toujours l’ivoire et encore l’ivoire.

Respectons la Nature, défendons notre climat en mettons la pression sur l’autorité compétente.

Votre voix compte.

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