L’inquiétude sur l’Ukraine, les bourses qui tanguent, l’indice des prix qui s’envole, le covid qui persiste, l’ensemble de ces éléments peut mener le consommateur passager à la prudence avant de réserver ses vacances. Et pourtant, le covid est en passe de devenir une endémie et non plus pandémie. L’immunité collective est proche.
L’indice des prix, c’était prévisible, avec l’incertitude au niveau approvisionnement des énergies, et donc pas très nouveau. Mais avec une remarque : les prix des combustibles diesel et autres, atteignent doucement mais sûrement des sommets.
Les bourses qui chutent, c’est un cycle presque naturel lorsque l’on analyse les historiques. En Belgique le taux d’épargne n’a jamais été aussi haut, et donc la capacité de dépenses des Belges est plus qu’intact. Avec un « mais » et une mise en garde tout de même: l’inflation guette.
Reste l’Ukraine et le risque potentiel de guerre…
Un grand mot qui fait peur, surtout après 77 années de paix en Europe… Enfin presque, n’ayons pas la mémoire courte, et rappelons-nous la dislocation de la Yougoslavie et ses tristes abus. De plus, les guerres ont toujours été et sont toujours présentes quelque part sur notre globe.
Pour l’Ukraine, j’avoue une différence. Mais ici, à nouveau, un rapport des forces Est/Ouest reste comme à l’habitude l’enjeu. Surtout après la disparition de l’URSS, l’annexion de la Crimée et le Dombass, région économique, qui reste un enjeu pour la Russie .
La population, sur place, est inquiète, c’est vrai. Leurs cultures sont très proches, avec une différence de taille: la Liberté et la soif ukrainienne de faire partie de l’Europe ! Certains locaux abritent déjà leurs familles en dehors de Kiev, par prudence. Mais la vie sur place reste normale, pas de soucis d’approvisionnement, par exemple, pour l’instant.
Tout cet argumentaire pour prouver, à nouveau, que rien ne doit décourager, pour l’instant, vos clients pour voyager ENCORE ET ENCORE.
