Les chiffres alarmistes se succèdent et ne rassurent pas. Normal que la pandémie s’étende, ainsi que les chiffres, vu que les tests se surmultiplient. Bientôt 12% de notre population sera atteinte par le virus.
Les messages politiciens et ceux des virologues redeviennent répétitifs: la seconde vague est confirmée. Et chacun s’attend déjà au pire : un second lock-down. Économiquement catastrophique quelle que soit la formule sélectionnée.
Le pire est revenu : LA PEUR. Le gouvernement australien a déjà annoncé que ses ressortissants ne pourront plus quitter le pays avant 2022, ou pas avant que la population n’ait été vaccinée. Imaginons un scénario identique par continent dans le monde….! Est-ce réaliste ?
Plus rien n’est impossible
Y aurait-il une collusion gouvernementale internationale pour décider ce genre de fait accompli ? Nous ne le saurons jamais. Espérons au moins que nous pourrons voyager en Europe…y inclus les dom/tom, si tel était le cas de figure.
Macron a parlé ce mercredi soir, notre gouvernement fera de même vendredi soir. Une version copié/collé ? Probablement.
Et enfin, parlons vaccins. Celui de la simple grippe dont nos gouvernements successifs vantaient les valeurs, et surtout l’impérieuse nécessité. Eh bien, il est hors stock.
Depuis mi-septembre les plus prévoyants avaient commandé la précieuse piqûre, et l’ont déjà obtenue. Pour ma part, je l’ai commandée, comme chaque année, chez mon pharmacien fin septembre. Réponse : il sera « normalement », à nouveau, disponible fin octobre, si pas mi-novembre.
Une double peur va s’installer dans la population. Celle d’une double pandémie. Rassurez-vous, celle de la grippe est récurrente, fait chaque année des victimes, mais c’est de la vieille histoire qui n’intéresse plus personne.
Et pourtant……… Nos autorités sont coupables d’imprévoyance totale depuis belle lurette. Les mesures prises ne sont que des rustines sur des boyaux crevés en multiples endroits.
Que faire?
DÉJÀ RESPECTER LES GESTES BARRIÈRES PARTOUT ET TOUT LE TEMPS. IDEM POUR LES PLUS JEUNES. RESPECTEZ-VOUS VOUS-MÊMES.
Ne sombrons pas dans la panique, mais restons vigilants.