Plusieurs journaux, et non des moindres, dénoncent déjà la vitesse avec laquelle nos libertés ont été drastiquement limitées sous le motif de pandémie. La raison sanitaire est plus que justifiable, la manière de l’imposer devrait avoir ses limites.
Contrôles policiers, amendes salées, nous pourrions presque parler de répression. C’est le résultat des pouvoirs spéciaux accordés au gouvernement « intérimaire ».
Des millions d’hommes sont morts au nom de la liberté, ne l’oublions pas. Rappelons-le, à heure et à temps, à nos politiques qui pourraient être tentés de nous imposer d’autres mesures, taxatoires entre autres, sous couvert des pouvoirs spéciaux. Il faudra nous la rendre au plus vite, NOTRE LIBERTÉ !
Pourquoi ce coup de gueule ?
La goutte qui a fait déborder le vase ! Des contrôles policiers à la sortie de certaines grandes surfaces, pour vérifier l’identité des clients sortants s’ils sont bien domiciliés dans les environs dudit magasin.
Les initiatives et l’inventivité policières font craindre des abus plus sérieux. Déjà que les propriétaires des secondes résidences sont réduits au silence, il faut être certain qu’ils ne puissent plus se relever. Est-ce une 1ère attaque vers une classe moyenne considérée, peut-être, comme trop aisée ?
En temps normal ces résidents seraient accueillis comme une bénédiction économique. Aujourd’hui on les considère comme une malédiction. J’espère que nous retrouverons très vite notre liberté touristique.
Dans le cas contraire, je crains que les semences d’une révolution soient semées.