Mes amis (puisque c’est comme ça qu’on s’appelle sur FB) j’ai réfléchi longuement avant de publier le court texte qui suit : La peur, dit le proverbe est « mauvaise conseillère ».
Je ne suis pas d’accord de vivre dans cette société-là, même sous prétexte de précaution. Le risque zéro n’existe pas ! (On nous le répète assez lors d’attentats, et aujourd’hui on l’oublie ! Étrange…)
On retrouve les virus dans les fouilles archéologiques les plus anciennes. Depuis l’aube de l’Humanité, les virus ont toujours existé, ils sont nés avec nous, comme le moustique. Chacun de nous en porte. Les bactéries sont sur nous et en nous, et certaines nous protègent ! Rêvez-vous, comme ce spécialiste américain des antibiotiques, de «laver entièrement le corps humain » ?
Je refuse de parler à un de mes semblables à travers une vitre blindée sous prétexte qu’il serait contaminé.
Tout activité humaine est dangereuse : fumer, boire, manger, voyager,…
Réfléchissons bien à cette phrase : « Ne pas accepter la mort, c’est aussi refuser la vie » !
Pré- caution ? C’est de toute façon la Grande Faucheuse qui décide quand elle vous emporte.
Alors, lavons-nous bien les dents avant de rendre notre dernier…souffle!
Les bienfaiteurs qui se sont occupés des « pestiférés » avaient-ils peur d’attraper la maladie ?
La boîte de Pandore contenait tous les maux de l’humanité, y compris la Vieillesse et la Maladie, ensuite la Guerre, la Famine, la Misère, la Folie, le Vice, la Tromperie, la Passion, l’Orgueil.
Après l’avoir ouverte, seule demeura dans la boîte… l’Espérance
L’humanité ne vivrait donc pas dans la crainte perpétuelle des maux à venir. Prométhée se félicite ainsi d’avoir délivré les hommes de l’obsession de la mort, pas de la mort elle-même !
Pierre Georget