Un nouveau fléau rode: la «Tineola bisselliella asiaticus»

Arrivée sournoisement dans l’ombre du Covid-19, elle fait déjà des ravages bien visibles. La mite asiatique a été récemment identifiée sur certains marchés d’Asie du Sud Est où elle est encore cantonnée… Quid ? Quelle protection ? Comment s’en prémunir… Y a-t-il des raisons d’avoir peur si elle arrive chez nous ? Pas pour PagTour qui a mené l’enquête !

Après les virus africains, les coccinelles asiatiques, le virus Ebola, les sauterelles africaines, les scolytes du sapin, la pyrale du buis, les chenilles processionnaires sans oublier les terroristes d’AlQaïda et le Covid-19… voici maintenant la mite asiatique. Et ce n’est pas un mythe! (Elle était facile celle-là – ndlr)

Particulièrement vorace et active, elle semble ne s’attaquer qu’aux vêtements des jeunes femmes, jamais à ceux des hommes. Une fois celles-ci contaminées, elle les plonge alors dans un état quasi hypnotique où elles ne se rendent plus compte de leur état (tique – je n’ai pas pu résister – ndlr)

Voici quelques photos prises par notre reporter immunisé par sa masculinité qui vous en diront plus qu’un long article… Âmes sensibles s’abstenir, c’est du brutal !

(En off : Il m’a avoué aussi avoir ramené quelques spécimens de la «Tineola bisselliella asiaticus » pour voir si ça marche aussi en Belgique, (enfin si le royaume peut être contaminé ai-je corrigé – ndlr)… Mais chut, je ne vous ai rien dit !)

 


Dans ces périodes troublées et anxiogènes que nous traversons, n’oublions jamais de rire car, « Une journée sans rire, est une journée perdue ». (Charlie Chaplin)

Hervé Ducruet

 



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