Afin d’éviter le spectre d’une forme de réquisition militaire, les syndicats de l’Institution n’ont eu d’autre choix que de courber l’échine. Mais ils quittent l’arène des revendications la tête haute. Avec effet immédiat, les plannings suivants seront d’application :
Des périodes de 45 h de travail entrecoupées de 12 h de repos après chaque session de 3 heures en poste. Ces périodes seront suivies de 2 jours OFF à chaque fois. Une augmentation barémique symbolique et provisoire de 9 % a été acceptée par les parties.
Les Syndicats ont précisé que la bataille pour leurs droits n’était pas terminée, et que d’autres actions étaient prévues pour l’été.
Un conseil, prenez le train ou votre voiture pour vos prochaines vacances.