La prochaine visite de l’ancien président des Etats-Unis Barack Obama va encore accroître la célébrité de cette superbe ville d’Espagne. Vous serez surpris de connaitre la raison de sa venue à Séville…
Séville, à voir et à revoir !
La ville est connue pour son passé prestigieux. Séville est dotée d’un patrimoine artistique d’une grande richesse, ce qui en fait une des destinations touristiques les plus prisées d’Europe.
Ses monuments, les nombreux artistes qui y sont nés ou y ont œuvré, son histoire glorieuse, ses fêtes traditionnelles, mais aussi son climat, contribuent à sa renommée.
On peut y découvrir des exemples remarquables de l’architecture mauresque, comme le palais de l’Alcazar et le minaret de la Giralda, ainsi que sa cathédrale gothique, lieu de sépulture de Christophe Colomb.
Barak Obama va parler tourisme …
L’ancien président américain Barack Obama doit s’exprimer lors du congrès mondial du « World Travel & Tourism Council » (WTTC) à Séville du 2 au 4 Avril prochain. Il sera le principal intervenant de la conférence sur le thème « Changemakers » afin de célébrer les personnes et les idées qui vont changer l’avenir du secteur.
La présidente et directrice générale de WTTC, Gloria Guevara, a déclaré: « Au cours de son mandat, il a incarné la notion selon laquelle les voyages et le tourisme sont un facteur de croissance économique et de création d’emplois ».
Il tient sa promesse vis-à-vis de Séville
Selon les informations diffusées sur sa venue, il est indiqué que Barak Obama paye une dette avec la capitale de Séville.
Il devait venir dans la ville en juillet 2016. Malheureusement cette visite avait été annulée lorsque cinq policiers avaient été tués à Dallas.
Ce n’est pas la première fois que Barack Obama se rend en Espagne, puisqu’il s’est déjà rendu deux fois à Madrid. Pour sa part, sa femme et sa fille, ont visité la Costa del Sol et Grenade en 2010.
L’ancienne Première Dame a également séjourné à Majorque en 2017.
Ces visites ont un impact important sur la destination en raison de la large couverture médiatique qu’elles provoquent. Une bonne affaire pour l’Espagne dont le tourisme continue de progresser.
Serge Fabre