Certains avancent qu’il aura fallu la pandémie pour que l’UPAV et VVR se décident enfin à organiser leur premier congrès commun. La décision des associations d’agences de voyages francophones et néerlandophones a pourtant sonné comme une évidence chez les 170 participants à l’événement. Lequel s’est tenu pendant quatre jours à Coimbra (centre du Portugal).
De retour à Bruxelles ce dimanche soir, les participants pouvaient vanter un sans faute en matière d’organisation. Le programme lui aussi a fait mouche, avec des activités et excursions communes entre Francophones et Néerlandophones, et des ateliers/sessions séparés qui auront tenu leurs promesses. Un bémol tout de même : on regrettera l’intervention de Pascal Vrebos, dont on peut sérieusement se demander s’il est jamais entré dans une agence de voyage.
Le diner de gala a marqué les esprits dans la superbe salle du Convento de Sao Francisco, cet ancien couvent transformé en lieu événementiel, où se sont également tenus le cocktail du jeudi soir et la Journée de travail.
Autre point positif, l’heure était clairement à l’optimisme, même mesuré au regard des difficultés de recrutement, d’une crainte de se voir confronté au manque de capacité aérienne, de l’inflation et des risques qui pèsent sur l’économie. Mais l’actuel niveau des réservations ne justifiait pas à lui seul le moral au beau fixe. Le plaisir de se retrouver, après ces trois années compliquées, a clairement contribué à la chaleur de l’atmosphère, à la convivialité du moment.
Ces quatre jours auront également été l’occasion de découvrir Coimbra (et ses environs), cette ville magnifique inscrite au patrimoine mondial de l’UNESCO, qui compte la plus ancienne et prestigieuse université du Portugal. Les participants auront su apprécier le ravissant centre-ville et ses très typiques “tabernas”…
Quand on s’adresse à des agents de voyages, il n’est pas nécessaire de préciser que Coïmbra est située au centre du Portugal.